
Lionel Garcin
saxophones soprano, alto, tenor, baryton
GROUPES ET PROJETS GRAND CHAHUT
Les Tribus Verticales [solo]
La Grande Volière [concert perché]
Autruche [impolie rythmie]
À l’affût [immersion sonore en forêt]
L’orée du bruit [duo avec Amanda Gardone]
Primitif trio [transe électro-mécanique, lutherie sauvage]
Gamelan du Dromistan [ensemble de percussions balinaises]
GROUPES ET PROJETS AILLEURS
Duo avec Lionel Marchetti
Duo avec Mark Dresser [création 2026]
Duo avec Emmanuelle Pépin [Duo danse-musique]
Vibration, avec Sara Jalecko [Duo danse-musique]
Akpe jo mimi [fanfare franco-béninoise]
CONTACT
lionelgarcin@no-log.org
+336 52 29 19 70
Depuis toujours Lionel Garcin promène ses saxophones sur des chemins arpentés comme dans des contrées sonores sauvages à travers une approche personnelle de l’instrument (multiphoniques, saxophone préparé…).
Cette vision holistique de l’instrument l’a emmené dans les mondes poreux du jazz [avec Clause Tchamitchian, Raymond Boni, Hamid Drake, Nicole Mitchell, Daunik Lazro, Eve Risser, Guillaume Orti, Frank Lowe, Domininic Lash, Alex Ward, Ramon Lopez, Bernard Santacruz, Michael Zerang, Rémi Charmasson, Denis Fournier, Jean-Pierre Julian, Christine Wodrascka, Stéphane Oliva, Raymond Boni, Jean-Luc Cappozzo, Médéric Collignon, Guillaume Séguron, le Grand Chahut Collectif, Aymeric Avice, Avreeayl Ra, Emmanuel Scarpa, Tony Marsh…] Et des musiques improvisées; pendant 20 ans il joue avec Barre Phillips en trio, en quartet puis en ensemble avec Emir et collabore avec de nombreux musiciens [Frantz Loriot, Lionel Marchetti, Christian Pruvost, Le Quan Ninh, Catherine Jauniaux, Michel Doneda, Alain Joule, Isabelle Duthoit, Thierry Madiot, Guillaume Viltard, Michael Nick, Benjamin Duboc, Loic Guénin, Claude Parle, Sophie Agnel, Bastien Pelenc, Thomas Barrière, Yaping Wang, Silvia Tarozzi, Gérard Fabbiani, Sophie Delisée, Amanda Gardone…. et les danseurs Julyen Hamilton, Emmanuelle Pépin, Anna Pietsch…]
Son univers proche des musiques contemporaines lui ouvre les rencontres avec Frédérique Cambreling (Ensemble Inter-contemporain), Sylvain Lemêtre, Grégoire Simon. Et puis, il y a l’attrait infini des musiques traditionnelles, Il s’initie à la musique classique d’Inde du Sud auprès de L.S Subramaniam. Depuis 2018 il travaille autour des musiques du Bénin avec la fanfare Olaitan dans le grand orchestre franco- béninois Akpe Jo Mimi.
À la croisée de ces mondes, ceux des musiques contemporaines, improvisées et traditionnelles, Lionel Garcin mène depuis 20 ans un travail autour des chants d’oiseaux qu’il met en jeu aujourd’hui avec la Grande Volière, concert in situ à grande hauteur dans les arbres avec Alexandra Grimal, Violaine Gestalder, Michel Doneda et Guillaume Orti et l’audio-naturaliste Marc Namblard ainsi qu’en solo dans Les tribus verticales.
Lionel Garcin traque les ressources absentes du mode d’emploi jadis paramétré par Adolphe Sax afin d’enrichir le jeu de son ustensile et de lui insuffler une impulsion poétique contemporaine.
Gérard Rouy – Jazz Magazine
Hauntingly wonderful album, delivered with care, precision and abandon.
Tom Sekowski – GAZ-ETA(canada)
Rares sont les saxophonistes à avoir tenté l’expérience solitaire […] Lionel Garcin se lance dans l’aventure avec L’instar intime (soit dit en passant, un des plus beaux titres de l’année).[…] Tel ou tel « utilise toute la palette de son instrument », dit-on. Lionel Garcin pousse encore plus loin et va chercher des timbres et des couleurs inouïes (dans tous les sens du terme). Mathieu Durand – Citizenjazz