Grand Chahut Collectif

Grand Chahut Collectif a vu le jour en 2003, et rassemble aujourd’hui une quinzaine de musicien’ne’s d’horizons variés, partageant un désir commun d’exploration du son et un certain savoir-vivre sonore.

Grands ensembles, spectacles jeune public, musique improvisée, solos, musiques à danser, spectacles de rue, spectacles itinérants… autant de formes nées tout au long de ces années, mettant en œuvre
la création collective et défendant une démarche musicale originale et vivifiante, où improvisation et composition sont en constant dialogue.

Attentifs à leurs racines et influences multiples et désireux de les transgresser allègrement à travers l’écriture, l’improvisation, l’expérimentation, les musiciens du collectif s’associent avec d’autres musiciens, d’autres collectifs, compagnies, danseurs, plasticiens…

« Les « Chahuteurs » sont des musiciens inlocalisables, car investissant plusieurs dialectes, de préférence transversaux – ceux du jazz libre, du rock déviant, etc. – sans se préoccuper de coller à un genre ou à un dogme stylistique. Le détournement iconoclaste serait plutôt leur profession de foi (…). Le GCC aime à sauter par-dessus les barrières et à transgresser les postes-frontières. »
Traverses

« Le Grand Chahut Collectif est un nom merveilleux, le grand but, la fête qui pousse et nous organise. »
Vincent Menières – Les allumés du jazz

« Les fadas de la musique. »
Tapage nocturne – France Musique

« La marque de fabrique du Grand Chahut Collectif en matière musicale, c’est d’abord une vitalité à l’épreuve des balles et un esprit jouissif et facétieux. »
Citizen Jazz

« Une musique disloquée, obsédante, envoûtante… »
La montagne

« La musique du Grand Chahut est porteuse d’un phrasé qui délite les frontières. Elle voyage dans une langue commune possible. »
Radio Campus Clermont-Ferrand
 
« Il semblerait qu’ils aient du talent et qu’ils sachent faire ressentir des histoires à travers un lyrisme qui passe de la tendresse à la rage, de moments intimes à une révolte qu’on aimerait tous pouvoir laisser sortir de soi comme ils l’osent.»
Le Crestois