Les tribus verticales

Lionel Garcin :
saxophone soprano

CONTACT
lionelgarcin@no-log.org
+336 52 29 19 70

À VENIR
• Un enregistrement à paraitre sur le label GMEA
• 11 octobre, 20 ans du Phare à Luciole, Villes/Auzon (84)
• Tournée d’automne en construction

esquisses paysagères pour saxophone solo

Cris d’alerte, glissandi, sons de rocailles, abstractions sonores quasi électroniques, mélodies organiques…
Si le saxophone était abordé comme un syrinx – l’organe de vocalisation chez les oiseaux- pourrait-il chanter les paysages, la sensation du vol, les rocs et les abîmes, l’eau le vent et les arbres, l’apparition du soleil, comme peut-être le font les oiseaux ?

Paysages intérieurs, chants adressés à l’espace, rythmes et  résonances, ce solo d’improvisations et d’écritures s’est construit à partir d’une cartographie sonore du saxophone autour de ses harmoniques. Celui-ci a la possibilité de se comporter comme un double tuyau à l’instar du syrinx des oiseaux, il peut évoquer le chant diphonique ou multiphonique

Lionel Garcin explore les chants d’oiseaux depuis des années à travers un travail quotidien en pleine nature, d’abord sur l’île de la Barthelasse, puis sur les pentes du Mont Ventoux et aujourd’hui dans la Drôme. Les relevés ornithologiques d’Olivier Messiaen ont aussi nourri ce travail personnel. Depuis bientôt 10 ans il déploie ce travail en groupe avec La Grande Volière, concert pour cinq saxophonistes perchés à grande hauteur.