Tsalorlaari

tsalorlaari

Lionel Garcin :
saxophones

Yannis Frier :
guitare
Julien Corda :
basse
Sébastien Bouhana :
batterie

AU SEIN DE PRÉCÉDENTES FORMULES
Thérèse Bosc
Marie Frier (concert Jarny 2012)

Vincent Copier

traditionnels afghans revisités
REPRISE EN 2020

Intersection, croisée des chemins. C’est ce que signifie Tsalorlaari en pachto. C’est aussi là que se situe la musique du Grand Chahut Collectif, gang de brasseurs de sons basé dans la Drôme. Sous l’impulsion de Yannis Frier, quatre musiciens se sont réunis autour de la culture afghane, malmenée et interdite par les régimes politiques successifs pendant presque 40 ans. Ils s’approprient ballades et musiques de transe issues d’un répertoire traditionnel sauvegardé en partie par la diaspora et les enregistrements. Électricité, improvisation, urgence, instrumentation et influences occidentales viennent nourrir ces relectures aux accents rock décalé et jazz abrasif.

afghan folk music revisited
Intersection, crossroad. That’s what Tsalorlaari means in pachto. This is also where the Grand Chahut Collectif’s music stands. Under Yannis Frier’s impulse, four sounds brewers got united around Afghan culture, which has been maltreated and forbidden by the succesive political regims for nearly fourty years. Tsalorlaari performs ballads and transe music from this traditional heritage, which was saved for a part by the diaspora and some recordings, adding their own interpretations and instruments with western influences, including rock, jazz, improvisation and new music, with its own peculiar urge and electricity.

PRESSE
« Ce groupe est né en 2009, lors du festival Petits Chahuts Itinérants, mais surtout à la suite d’un coup de cœur incroyable pour une compilation de musiques afghanes recueillies par une équipe de radio allemande dans le pays en 1974… quand il y avait une culture vivante et sans interdit… avant les communistes, avant les talibans, juste avant les horreurs qui allaient détruire presqu’en intégralité la culture musicale traditionnelle afghane, ce qui a ému encore plus Yannis Frier, fondateur du groupe. Interdire la musique… rien de plus révoltant quelle que soit sa culture ou sa civilisation puisque le sujet est d’actualité (…). Chacun se laissera porter par la musique et voyagera là où son âme l’emportera. »
Le Crestois, 24 février 2012

CONCERTS
• Jarny (F54) : Musique en mouvement, + Irène + Les explorateurs • Montoison (F26) : HICAM, + Navasté • Valouise (F05) : Place pagaille • Die (F26) : Petits chahuts itinérants, La griotte, + Forge/Dumont/Epinat