Lionel Malric

piano, Fender Rhodes, accordéon, orgue, électronique, claviers, clavicorde

lionelmalric.com

Lionel Malric est un curieux. Ce « vilain défaut » n’a de cesse de l’emmener dans les innombrables recoins de ce vaste territoire sonore plus communément nommé Musique. S’il passe dès le plus jeune âge une partie de son temps à l’étude de celle ci, il ne la rencontrera que vers 15 ans, aux côtés du contrebassiste Brice Soniano. Ils explorent ensemble les limites mélodiques, harmoniques et rythmiques, faisant feu de tout bois : improvisations libres, standards de jazz, traditions populaires, compositions collectives… C’est la naissance du collectif Ze Pritcheur avec lequel il œuvrera jusqu’en 2006.
Cette même année, échaudé par la pénurie de pianos dans les lieux de concerts, il décide de déplacer son piano : un demi-queue Erard de 1903 duquel il tombe littéralement amoureux. C’est la naissance de Solo Pour 227 Cordes. Un facteur de pianos à la générosité sans limites le prend sous son aile et l’initie à l’accord et la restauration. Depuis il distille de ci delà sa musique aux sonorités inattendues.
Parallèlement, dès 2003 il participe à l’éclosion du Grand Chahut Collectif duquel il est toujours l’un des piliers.
En 2003, Grand Chahut Ensemble (big band).
En 2004, La Chahuteuse Mobile (micro fanfare).
En 2005, Le nœud logique (trio d’impro amplifiée), tournée à Moscou.
En 2006, La diagonale de Tchernobyl (hommage aux « liquidateurs » de 1986), création avec la Cie Brut de Béton.
En 2007, Balinaises Chahutations (rencontre entre gamelan balinais et instruments occidentaux), création.
En 2008, Nicht Rio (trio d’impro), tournée/enregistrement.
En 2009, Mazette, la belle chahute ! (bal musette revisité).
En 2010, Grand Liliput Ensemble (rencontre entre Grand Chahut et Liliput Orchestra), tournée/enregistrement.
En 2011, Frisette (4tet free-musette).
En 2012, L’interlope suspension (5tet d’impro) création avec Benoît Guillaume au dessin live rétroprojeté.
Depuis 2008 il travaille au sein du collectif Inouï. Pour la dernière création il se retrouve aux côtés de Guigou Chenevier (batterie/percus) et Takumi Fukushima (violon/voix) pour une musique écrite, intense et minimale sur le thème de Fukushima : Les Mutants Maha.
En 2012 il découvre le clavicorde qui sera son nouveau compagnon de jeu.
En 2013, création musique-danse-vidéo avec la compagnie de danse La Zampa en hommage au Sacre du Printemps de Stravinsky.
En 2014, enregistrement d’un album en duo de pianos préparés avec Pak Yan Lau : Duo Pour 454 Cordes / enregistrement d’un album avec le Grand Chahut Ensemble.
En 2015, le système d’amplification du clavicorde est enfin prêt ! Sortie hivernale de Solo Pour 63 Cordes.

Depuis 1995 il joue sa musique sur scène ou en studio, aux côtés de Brice Soniano, Vincent-Olivier Gonzalès, Thierry Gomar, Jérôme Antonuccio, Gaston Braka, Pierre Fenichel, Sylvain Romano, Henri Tournier, Christophe Deslignes, Thibault Frisoni, Jeanne Added, Philippe Renault, Anne Montagard, Yannis Frier, Sylvain Vast, Fred Galland, Babou Gueydan, Thérèse Bosc, Nathalie Goutailler, Anne-Sophie Millet, Vincent Copier, Thomas Ostermann, Olivier Germain-Noureux, Manu Domergue, Nicolas Lopez, Yves Marceau, François Perdriau, Anne-Laure Pigache, Gildas Becquet, Toma Gouband, Rémi Dumoulin, Grégory Brustier, Julien Latapie, Grégoire Perdriau, Laurent Rochelle, Olivier Brousse, Pascal Portejoie, Piero Pepin, Hélène Marseille, Damien Sabatier, Cécile Borel, Yuko Oshima, Jean-Luc Cappozzo, Eric Brochard, Max Chabrol, Guigou Chenevier, Morgane Klein, Sébastien Bouhana, Sébastien Cirotteau, Heddy Boubaker, Emmanuel Cremer, Bastien Pelenc, Takumi Fukushima, Pak Yan Lau, Yann Lecollaire, Benjamin Chaval, Xavier Charles, Lionel Garcin, Amanda Gardone, Emily Tissot, Anouck Genthon, Sylvain Mazens…